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La martingale de Bill Gates révélée!

Le spécialiste des virus informatiques et de leurs mises à jour obligatoires de Bill Gates renouvelle cela dans le domaine de la santé! 

Tout le monde sait comment Bill Gates est devenu si riche en logiciels. Le milliardaire met désormais en œuvre la même méthode avec les vaccins. Ils ne changent pas une méthode gagnante. Une seconde fortune pour ceux qui se déclarent "philanthrope". ort. Tout soutien médiatique, politique et institutionnel est demandé en échange des subventions reçues.

Premier conseil: ayez un bon avocat!

Bill Gates est le fils d'un grand avocat d'affaires et le petit-fils d'un riche banquier (lisez  Non! Bill Gates n'est pas mon modèle!  3 avril 2021). 

Il ne fait pas d'informatique, il fait des affaires et est légalement lié. 

 

De même, il ne se soucie pas de la santé, il fait toujours des affaires et est légalement lié. 

Deuxième conseil: attendez-vous à un besoin universel!

Bill Gates a construit sa fortune non pas en inventant des miracles informatiques, mais en imposant le système d'exploitation de son partenaire Paul Allen sur tous les ordinateurs personnels. 

Il fait la même chose avec les vaccins. Comme un système d'exploitation sur ordinateur, le vaccin doit devenir obligatoire. L'idéal aurait été une véritable pandémie. Puisque cette pandémie a du mal à la déclencher, il est facile de faire peur à l'humanité en lui faisant croire qu'elle est en danger de mort. Tout soutien médiatique, politique et institutionnel est demandé en échange des subventions reçues.

Macron prend tout son rôle dans ce scénario qui nous incite à «vacciner, vacciner, vacciner» alors que le virus ne tue pratiquement personne: à partir de là, nous utilisons tous les moyens pour vacciner, vacciner, vacciner vacciner. Sans pause, sans vacances. Samedi et dimanche comme la semaine. 

 

Troisième conseil: monétisez la propriété monétaire!

 

Les logiciels informatiques étaient très faciles à dupliquer lorsque Bill Gates s'est associé à Paul Allen. Avec le soutien de son père légal, il n'a jamais cessé d'aligner les logiciels sur les droits de propriété intellectuelle. Il a sanctionné les logiciels de copie, ce qui en soi n'est pas mal puisqu'un programme informatique est un réel investissement qui doit être bien financé. 

Cependant, il n'y a quasiment aucun coût de fabrication dans cette industrie, ce qui n'est pas le cas des produits manufacturés ou agricoles. Vous payez maintenant pour télécharger des fichiers.

Bill Gates a compris que le même «modèle commercial» pouvait fonctionner avec les vaccins. Les virus doivent être brevetés pour cela! Il fallait penser à breveter les maladies. Ensuite, il ne reste plus qu'à breveter le remède de la maladie. Une fois cette privatisation du bien commun terminée, il est facile de dupliquer une potion qui ne coûte rien à fabriquer en grande quantité. 

Quatrième conseil: forcez les mises à jour!

Le système d'exploitation Windows a évolué, rendant rapidement des versions obsolètes à peine vieilles de quelques années. Même si l'ordinateur fonctionnait toujours très bien, un certain nombre de restrictions ont été mises en place pour forcer les mises à jour, parfois «gratuites» mais pas toutes. 

C'est ainsi qu'est né Windows Update, qui garantit à son concepteur une pension perpétuelle de plusieurs milliards. 

C'est pourquoi notre homme d'affaires a inventé l'éternelle vaccination. Dès que vous avez reçu les premières injections, on vous dira que vous en aurez en fait besoin de deux. A l'issue de cette seconde injection, on vous dira que vous avez été vacciné gratuitement depuis qu'une nouvelle variante nécessitant un nouveau vaccin a été développée.

Bill Gates, qui n'est pas un imbécile, a appris de Microsoft et de ses parents et amis banquiers : les meilleurs débiteurs sont les États. La vente de logiciels nécessite un réseau de distribution coûteux et complexe, avec tous les risques que cela comporte.

 

Dans le cas des vaccins, certains grands laboratoires et l'OMS travaillent directement avec des institutions supranationales, par exemple à Bruxelles. Ensuite, ce sont les États qui paient. Ces États-nations démodés que nous découpons mais que nous gardons juste parce qu'ils ont la capacité de collecter la taxe payée sur les vaccins. 

 

Trop fort !

 

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